Monday 30 April 2012

Hey Tom!

Hey Tom! Work harder. Hey Tom! Eat more fruit. Hey Tom! Sleep more, at better times. Hey Tom! Stop spending money. Hey Tom! Charge your phone. Hey Tom! Stop smoking. Hey Tom! Do some washing. Hey Tom! Get a haircut, you don’t look alternate you look weird. Hey Tom! Apply for jobs. Hey Tom! Stop leaving the hob on. Hey Tom! Stop saying shitty things to people. Hey Tom! Buy some clothes, you wear like a variation of the same outfit all the time and call it your ‘style’. Hey Tom! Stop telling people things and keep them to yourself you massive over-sharer. Hey Tom! Organise your work. Hey Tom! Stop thinking in status updates. Hey Tom! Have more / less sex. Hey Tom! For Christ’s sake get the washing up out of your room. Hey Tom! Actually exercise regularly, running 8km then being barely able to walk is fucking stupid. Hey Tom! Get out of bed when your alarm goes off. Hey Tom! Drink less. Hey Tom! Do some grammar exercises. Hey Tom! Go back on social networks, abstaining is not impressive and you miss it really. Hey Tom! Appreciate all this more often you spoilt shit. Hey Tom! Stop talking so much in seminars. Hey Tom! Write something worthwhile. Hey Tom! Concentrate in lectures. Hey Tom! Hey Tom! Hey Tom! HEY TOM! do what you think.

Monday 23 April 2012

A LAYMAN’S GUIDE TO MODERN LIFE.

Here's an attempt at some experimental poetry:


Wake up, drive to work, sit at desk, drive back, stare blankly, sleep.

wakeup drivetowork sit atdeskdrive back stare blanklysleep
wakeupdrive toworksit atdesk drivebackstareblankly sleep
wakeupdrivetoworksitatdeskdrivebackstareblanklysleep

receive texts, drink too much, talk about change, eat badly, sleep.

drink, texts too much, receive talk badly, sleep about, eat change.
Badly sleep, change about, receive too much, eat talk drink texts.
sleep drink receive change eat texts badly too talk much about.

have break down, quit job, take flights, watch lunch time tv, look for job.

Have break,
down down down,
QUIT job, take
flight, flight, flight,
(watch) lunchtime
tv, tv, tv, tv, tv, tv, tv,
look for Job,
look for JOb,
look for JOB.

Friday 13 April 2012

La table de nuit.

La table de nuit de Michael était un peu plus haute que son lit. Par conséquent, elle était souvent la première chose qu’il voyait suite à se réveiller. Elle n’était pas très chère, et les taches rondes de cafés ont formé des pleines lunes et des croissants sur la surface blanche. La table s’est constituée de deux tiroirs, l’un d’eux a contenu à peu près une douzaine des boucles d’oreilles. La femme qui a habité dans l’appartement avant Michael les a récupérés des trottoirs et des pistes de danse, et malgré le fait que Michael ne savait pas celui-ci, il les a gardé comme s’ils auraient réclamés un jour.

Le son des lettres à travers de la porte. C’était le son que Michael a détesté surtout. Il essayait de bannir l’autre tiroir de ses pensées. Ce faisant, il l’a donné un coup d’œil et le battement de son cœur s’est doublé en mécontentement. Il s’est habillé lentement et ramassé son portable, et immédiatement il s’est rappelé qu’il n’avait pas le recharger. Il s’est approché la porte, se mis à sueur malgré la fraicheur du matin. C’était un publicitaire. Dehors, il pleuvait et Michael tentait de couvrir la pile de CVs avec son manteau.

Après quelques heures de la routine d’être « mis en dossier » par les vendeurs, il s’est installé dehors un café, et il regardait les tentatives du vent de voler les fiches restant qui était alourdi par son portefeuille. Il a levé ses yeux en trouvant une serveuse devant lui. Elle a incliné la tête tristement, et elle a touché le lobe d’oreille où elle a manqué un bijou. Michael a tenté un sourire et il s’est redressé. Il a pensé du deuxième tiroir de la table de chevet, « vous n’avez pas les postes vacants par hasard ? » dit-il. Un éclat de rire, et soudainement les deux étaient au milieu d’une conversation passionnée sur ses rêves ; elle s’est attendue d’être une journaliste à présent, elle avait reçu son diplôme il y a trois ans. Michael est parti du café avec son numéro. Il a rit doucement, « ça fait trop longtemps » il s’est dit.

Comme il est revenu chez lui, Michael a enlevé sa veste et a laissé les cheveux sur ses bras s’est fait dresser. Quelquefois il a regardé le ciel sans raison, toujours avec un demi-sourire. Il s’est senti brave, et il a acheté six enveloppes et six timbres dans un magasin de journaux.

La porte d’entrée était entrebâillée. Michael a arrêté de sourire et tout à coup il avait très froid. L’image du tiroir s’est manifestée devant ses yeux. À l’intérieur il y avait plusieurs lettres à l’encre noir et rouge attachés aux murs, il les a arrachés désespérément. L’appartement a été vidé ; ses livres, l’ordinateur, le portable épuisé, la table de nuit et la douzaine boucle d’oreilles, ne rester aucun. Michael s’est mis au centre de la pièce.

Wednesday 11 April 2012

Offend me.

‘The freedom of speech is a fundamental right’

The Guild has just announced it is refusing to host the Liverpool Mayoral Elections Debate next week because it ‘will not allow three fascists into the building’.

I entirely disagree with this. I believe we shouldn’t accept any compromise with regards to freedom of expression, even (and perhaps especially) when it concerns voices most of us vehemently disagree with. Why? Because, as a friend of mine put it ‘we have the right to be offended’ – and should want to be offended.

The argument is of course that ‘we should not give them a stage’ – but what this essentially entails is a censorship of views. One representative even claims that our SU should be a political ‘safe space’. Once again, I disagree – political debate, as any other, should be free and open, and not a process of ‘selective listening’. If such a philosophy of choosing the range of voices ‘allowed’ in public debate is advocated, then might we not find ourselves never hearing anything we disagree with anymore? I can’t think of anything worse. To be challenged, to disagree, to be *offended* is the most direct and effective way of fuelling our thought forwards, and advancing our personal and social beliefs.

We should be holding the mayoral elections, we should let them speak, and allow it to feed and further the discussion on such discriminatory, racist politics, rather than let our SROs decide to bury our heads a little further in the sand.